Encore une fois cette année, mon weekend du Grand Prix a été un franc succès. Je ne vous cacherai pas que j’ai mal au corps (surtout aux pieds), mais je ne regrette rien, comme le chantait si bien Edith Piaf.
En fait, comme je n’ai plus 20 ans, je tente de limiter le nombre de partys auxquels j’assiste durant le Grand Prix. Ainsi, sur la dizaine d’invitations que j’ai reçues, j’en ai choisi 4, étalées sur trois jours.
Voici donc un bref résumé de ce weekend festif à souhait!
Homard, crabe, huîtres et beat de fou au Pandore
Jeudi dernier, j’ai donc commencé ma tournée par la soirée d’ouverture du Grand Prix au Pandore. Le Supperclub avait organisé une fiesta Bacchanalia fort sympathique.
Pour l’occasion, c’est le pub japonais Ichigo Ichie qui s’occupait du menu et TOUT était dé-li-cieux. Des petites bouchées de poulet frit japonais à la burrata, en passant par les huîtres, le homard et les pattes de crabe… Sérieusement, j’ai rarement aussi bien (et beaucoup) mangé !
Et que dire de la musique ? Le DJ a su me ramener 15 et même 20 ans en arrière, à l’époque où je buvais deux bières (que mon père m’avait donné) dans les partys de sous-sol. Vive le hip hop old school !
On a chanté, on a dansé, on a mangé et je suis repartie le sourire aux lèvres, me disant que les festivités du Grand Prix commençaient d’une bien belle façon cette année !
Soirée « Retour vers le futur » au Ritz
Je le dis et le redis : chaque année, j’attends avec impatience le party du Grand Prix de l’hôtel Ritz-Carlton. Il faut dire que mon petit côté « poule de luxe » est aux anges lors de cette soirée haute en couleur, puisque les invités sont tous plus chic les uns que les autres, que le décor est digne des plus grands films américains, que l’alcool coule à flot et que la nourriture est irrésistible.
Ah oui, j’oubliais : il y a aussi des voitures de luxe PARTOUT ! Même dans le jardin intérieur de l’hôtel… Faut le faire !
Cette année, grâce à la talentueuse planificatrice d’événements Maddy K, on a eu droit à tout un party. La thématique futuristique était bien représentée dès notre arrivée, alors qu’on était accueillies par des créatures étranges, mais sexy à la fois. On a même eu droit à un robot géant et des prestations chantées et dansées qui ont enflammé la foule, avant que Dj Yo-C ne prenne le contrôle des platines et nous fassent danser jusqu’au petit matin.
Et il ne faut pas oublier de parler de ma magnifique robe, que j’ai déniché pour l’occasion chez Loue1Robe. La propriétaire Sarra a vu juste en me proposant cette tenue de feu, car je n’ai reçu que des compliments durant la soirée.
Bref, même si nos attentes sont élevées chaque année, le Ritz réussit à les surpasser en mettant sur pied une soirée inoubliable. Sérieusement, c’est un incontournable! Chapeau à Madeleine Kojakian, Katia Piccolino, Leisa Lee, Béatrice Bernard-Poulin et toute l’équipe qui a travaillé sur cette belle soirée !
Pit Stop Lounge à l’hôtel W
Même si je me suis couchée à 3h du matin vendredi, je n’ai pas passé la journée en pyjama à me prélasser devant la télé, samedi PM. Non non non ! Je me suis rendue à l’hôtel W pour me faire bichonner avant le début des festivités du samedi, qui se sont déroulées au Richmond dans mon cas, mais on y reviendra.
Je vous explique : le W Montréal avait organisé un véritable Pit Stop Lounge des plus glamour. Je vous le dis, on se serait cru au Festival de Cannes ! On avait fait venir maquilleurs, coiffeurs, manucuristes, esthéticiennes et barbiers dans une immense loge où étaient invités personnalités québécoises et médias.
J’ai eu la chance de me faire maquiller par le maquilleur en chef de Guerlain, l’exceptionnel Maxime Poulin, qui m’a fait un smoky eye de feu en deux temps trois mouvements. Un véritable artiste !
Ensuite, j’ai testé la toute nouvelle gamme de vernis à ongles CND, Creative Play, qui propose une immense palette de couleurs punchées. La merveilleuse manucuriste Andréa Gomez m’a convaincu de choisir une teinte dorée pour s’agencer à ma robe nude de la soirée. Finalement, je suis montée à bord de La Rousse Mobile pour me faire coiffer par nul autre que Sophie Tessier, la propriétaire du salon La Rousse Espace Beauté. Une véritable coiffure de bal, qu’elle m’a fait les yeux fermés ! Pas au sens littéraire, là, mais quand même…
Voilà, j’étais enfin prête à rencontrer Tom Brady, qui séjournait au W, mais je n’ai malheureusement pas eu la chance de le croiser… Too bad !
À noter qu’il était aussi possible d’obtenir un facial express (Esthederm Paris), ainsi qu’une mise en cils ou une séance de spray-tan (Wonderblush) sur place. Le tout, avec une coupe de bulles à la main et de délicieuses mignardises de la Pâtisserie Petit Lapin. Finalement, les barbiers de Maison Privée étaient là pour chouchouter les hommes, et ce, avec les produits québécois Groom.
Soirée tapis rouge au Richmond
Après le W, on s’est donc dirigé dans le quartier Griffintown, au chic restaurant Le Richmond. Quand on parle d’une soirée « Tapis rouge », au Richmond, ce n’est pas seulement un classique tapis rouge à l’entrée, mais plutôt le restaurant au complet qui est tapissé de rouge. Ainsi, on en avait plein la vue dès notre arrivée… et ça ne faisait que commencer !
On a donc été accueilli comme il se doit, par une (ou deux, ou trois…) coupe de champagne Lallier! L’ambiance était feutrée, mais on sentait tout de même la frénésie du Grand Prix. Les gens étaient beaux, les huîtres étaient bonnes (le gravlax de truite aussi !) et la chanteuse de cabaret rappelait étrangement Jessica Rabbit avec sa longue robe rouge.
On a ensuite eu droit à un numéro de cerceau circassien impressionnant. Bref, Le Richmond avait mis le paquet pour impressionner les convives et l’opération charme a bien fonctionné… du moins, pour moi !
De retour au W…
Bon, les petites bouchées, c’est bien bon, mais on avait besoin de carburant pour continuer la soirée, alors vers 22h, on s’est assis au chic restaurant Five Guys pour engloutir un délicieux Cheeseburger et des frites (#sofancy), avant de retourner au W pour le Pit Stop Party, cette fois-ci. La preuve…
Arrivés au Plateau Lounge du W, encore une fois, des bulles nous attendaient dans une loge réservée aux médias, où on a dansé et potiné entre amis. Mais comme je n’ai plus vingt ans (je sais, je me répète), mes pieds m’ont obligée à rentrer tôt ce soir-là (lire 23h30), malgré le party qui commençait à peine à lever au W…
Enfin, je savais bien qu’après trois soirées de festivités, mon corps m’empêcherait d’en faire plus. C’est pourquoi je n’avais pris aucun engagement le dimanche et j’ai passé ma journée complète à la maison, en pyjama !
Bref, ce fut un très beau weekend festif de la F1 et j’ai déjà hâte à l’an prochain…